La description
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PRESSE
« D’une écriture tendue de bout en bout, l’auteur mène son enquête tout en décrivant la façon dont ses personnages se débattent dans une société où le néolibéralisme attaque les derniers vestiges de l’ère postcommuniste et où le patriarcat reste prégnant. Un thriller psychologique prenant. »
Le Monde
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PRESSE
« Notre roman policier de la semaine raconte l’histoire d’une femme qui empoisonne son insupportable belle-mère… mais c’est bien plus que ça, c’est un formidable portrait tout en nuances et un thriller psychologique tout en tension ! »
France Inter
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PRESSE
« Par de longs flash-back, Jurica Pavicic remonte le cours des souvenirs de Bruna et révèle petit à petit la nature de l’engrenage qui a conduit la jeune femme en prison. A la peinture de la Croatie de la fin des années 1990 et du début des années 2000 s’ajoute ici la description des rapports de domination qui s’instaurent entre la jeune mariée et sa belle-famille, plus précisément sa belle-mère. Malgré les bouleversements de la fin de l’ère Tito et de la guerre civile, l’auteur décrit des structures qui, elles, demeurent: un patriarcat commun, selon lui, à toutes les sociétés méditerranéennes. »
Le Temps Suisse
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PRESSE
« L’écriture, limpide, factuelle, tient le pathos à distance, ce qui n’empêche pas les scènes poignantes ou glaçantes. Et la dernière partie est une grande réussite. Où on comprend en quoi consistait le rêve de « vivre normalement » de Bruna. Il est à la fois anodin et immense. »
Libération
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PRESSE
« Mais à travers cette tragédie familiale méticuleusement disséquée, l’écrivain croate Jurica Pavicic (salué l’année dernière pour son premier polar publié en France, L’Eau rouge) réussit un roman noir d’une extrême finesse, démontant les mécanismes d’un crime presque “ordinaire”, dans une société traditionnelle fortement bousculée ces dernières années. »
Le Figaro Magazine
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PRESSE
« L’écriture est sans fioriture, les descriptions d’une froide précision, on n’en est que plus glacé par le destin de Bruna dans une Croatie belle et triste à la fois, loin de l’image de carte postale qu’en ont les touristes qui n’y vont que l’été. »
L’Express
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PRESSE
« Il met en perspective, avec une forme de tendresse humaniste qui transparait à chaque description, une Croatie qui, dans ses traditions familiales, prône l’élévation sociale d’une génération à l’autre, tandis que l’histoire du pays finit par dire tout l’inverse, chaque génération subissant un bouleversement qui détruit l’héritage de la précédente. » Par Lionel Destremau
Le Matricule des anges
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PRESSE
« Il trace de grandes perspectives – ainsi celles qui transforment peu à peu Split l’industrielle et industrieuse en station balnéaire envahie par les centres commerciaux et les marinas – et, comme dans L’Eau rouge, sait donner la dimension de l’épopée aux menus faits quotidiens […]. C’est, faut-il le souligner, la marque des grands écrivains, l’art de l’incarnation jusque dans la manière de décrire la préparation d’un repas, celui que Bruna, sortie de prison, rêve un jour de préparer pour la famille unie dont elle sera à jamais privée. » Par Alain Léauthier
Marianne
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PRESSE
« Comment, dans un quasi huis clos, Jurica Pavicic amène la victime à devenir bourreau, c’est tout l’art de La Femme du deuxième étage, le roman noir qui fait suite à L’Eau Rouge, polar historique récompensé en 2011 par le prix Le Point du Polar européen. » Par Julie Malaure
Le Point
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PRESSE
« À la fois âpre et d’une exemplaire sobriété, entre douceur méditerranéenne et lancinances amères, La femme du deuxième étage est une nasse suffocante autant qu’oxygénée dont on ressort humble, préoccupé mais enthousiaste. Tout y est modeste, tout y est brillant. » Par Jean-Luc Manet
Livres Hebdo
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PRESSE
« Une tension métaphysique traverse ce roman, qui se pare d’une structure de tragédie pour raconter la descente aux enfers d’une femme condamnée pour le meurtre de sa belle-mère. […] Polar à rebours, analyse psychologique sur les haines familiales, ce roman transcende les genres. »
Elle
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PRESSE
« Jurica Pavičić n’a pas son pareil pour mettre en évidence le détail révélateur d’un changement d’époque et c’est bien la raison pour laquelle, aidé par une remarquable traduction, fluide et élégante, d’Olivier Lannuzel, ses romans sont bien plus qu’une simple intrigue mais l’évocation globale du basculement d’un monde vers un autre. Du grand art… » Par Philippe Manche
Le Vif Belgique
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PRESSE
« La construction du roman est ainsi bâtie sur ces allers-retours, puisqu’on découvre Bruna en prison, avant de remonter les fils de l’affaire et de la suivre ensuite lorsqu’elle est en liberté provisoire. On dirait que l’auteur, et c’est tout son talent, nous fait découvrir, quasiment dans le même tempo que lui-même, la manière dont sa créature s’adapte -ou pas- aux situations successives de son existence. »
Aqui
AVIS LECTEUR
« Bon comme je t’ai dit quand j’ai publié la lecture de la première page, on est ici face à un gros coup de cœur. »
bouquinemarine
AVIS LECTEUR
« L’auteur réussit à instiller une impression de malaise, une oppression alors qu’il n’y a pas vraiment de suspens. Le lecteur sait très vite ce que Bruna a fait.
C’est le pourquoi qui est intéressant. La sensation de cette jeune femme de passer à côté de sa vie, d’être écrasée par une routine qu’elle n’a pas choisi. Réduite à s’occuper d’une femme qu’elle déteste. »
ally_lit_des_livres
AVIS LECTEUR
“ Dans un roman très sombre, Jurica Pavicic décortique l’engrenage qui peut mener une femme ordinaire au crime. J’ai beaucoup apprécié la construction du roman et son ton nostalgique. Il me reste maintenant à découvrir « L’eau rouge », le précédent roman de l’auteur, dont j’ai entendu beaucoup de bien. “
Plaisirsacultiver
AVIS LECTEUR
« Coup de cœur !
[…] C’est le roman que j’attendais le plus en cette rentrée littéraire. « L’eau rouge », le précédent roman de Jurica Pavicic, avait été l’an dernier un véritable coup de foudre pour moi, ceci explique cela.
[…] Mais Jurica Pavicic nous le raconte comme personne. Il tisse les fils qui vont mener au drame, il est Bruna, il met le lecteur dans sa tête pour comprendre, analyser.
[…] J’ai été très touché par l’histoire de cette jeune femme, par ce récit empreint d’une mélancolie profonde, tenace, qui ne vous lâche plus pendant plusieurs jours après la lecture… Un livre qui marque, durablement. »
bulle.noire
AVIS LECTEUR
« Tout d’abord, sachez-le, commencer La Femme du deuxième étage risque fort de vous extraire de toute vie sociale ou de toute autre tâche le temps de la lecture. J’ai pour ma part été happée par le roman en deux pages.
[…] Il y a quelque chose de très singulier chez Pavičić, une façon de saisir le réel par le petit bout de la lorgnette, d’embrasser l’histoire politique et sociale de la Croatie par le prisme du fait divers, mais avec un rythme très particulier. Paradoxalement, son roman est d’une grande force tout en cultivant une forme de discrétion, si je puis dire : pas de fracas chez Pavičić pas de paroxysme tapageur à grands renforts de suspense ; la tragédie progresse à bas bruit, et c’est encore plus fort.
[…] La clôture du roman est à l’image du roman, douce et puissante, sobre et bouleversante. »
Tasha Gennaro
AVIS LECTEUR
« L’auteur brosse alors une tragédie familiale dans un huis clos chargé de symboles, la cuisine. Nous sommes plongés dans l’intimité d’une famille n’échappant pas aux drames quotidiens : les non-dits, la surcharge mentale, les passe-droits… Un parfait cocktail Molotov prêt à exploser et qui peut, finalement, consumer chacun de nous. C’est par cette identification que le roman de Jurica Pavičić s’impose subtilement dans nos consciences et témoigne d’une vie désabusée et terriblement mélancolique. »
_lesnuitsnoires
AVIS LECTEUR
« La femme du deuxième étage, c’est un peu la Croatie qui se réveille après une mauvaise histoire d’amour ou une sale passe, se terminant par un drame et qui doit avancer sur une voie qui n’est pas celle espérée au début. On dit que l’histoire repasse les plats. Rarement que, quand ils reviennent, ils sont froids et insipides. Il faut pourtant manger… »
BroBlogBlack