La description
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PRESSE
“(…) Une plongée glaçante dans une machine policière impitoyable mise au service d’une poignée d’hommes que la réunification broiera ou propulsera vers les sommets avec son lot de trahisons, de complots et de vengeances. Dense, compliqué, mais passionnant.”
Libération – Article de Alexandra Schwartzbrod – 29/02/2019
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Un polar polonais ? Mauvais esprit oblige, on pense kloug et chaussettes en laine qui grattent. Rien d’excitant. Et pourtant, si ce roman, Le Magicien, ne ment pas sur la grisaille qui fit la réputation de l’Est à une époque, la chaleur des âmes vient en réviser la froideur. Parce que la journaliste-romancière berlinoise Magdalena Parys, Prix de littérature de l’Union européenne en 2015, poursuit, après 188 Mètres sous Berlin, paru l’an passé chez Agullo, l’exploration de l’effondrement du bloc. Avec, parmi une galerie de personnages puissamment attachants, le tendre commissaire Kowalski, effondré (décidément) par la perte de sa chienne, pour l’ère contemporaine, ou le vieux Siebel, dont les fils ont été abattus à la frontière bulgare (l’opération « Magicien »), comme une centaine d’autres personnes, sur les 4 500 qui ont tenté de fuir vers l’Ouest durant la période du rideau de fer. Parce que le fond de cette fiction, qui flirte entre le genre du roman d’espionnage et le polar sensible, s’appuie sur le réel dur, bien tangible. Histoire de poser le propos, rien qu’en préambule, l’auteure, convaincante, rappelle, ou plutôt annonce (qui le sait ?) qu’en 2010 vingt millions de dossiers constitués par la Stasi et stockés à l’Office fédéral allemand ont été purement et simplement effacés.
Le Point – “Pologne, les Promesses de l’Ouest” – 14/02/2019 – Julie Malaure
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La Polonaise Magdalena Parys est un des grands auteurs de l’ère postcommuniste.”
Chronique de Serge Raffy – 3 étoiles sur 4
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“Un passionnant cours d’histoire”
“La musique de ‘Rosemary’s Baby’, le couinement d’un ascenseur d’hôtel, le frisson contenu dans la seule évocation du continent gris à l’Est de l’Europe, et l’efficacité pernicieuse d’un style qui refuse les effets signent l’atmosphère de ce récit de Magdalena Parys.”
Sud-Ouest – “Mauvais vent d’est”, par Lionel Germain
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“Magdalena Parys, germano-polonaise, lauréate du Prix de littérature de l’Union européenne, ne livre pas seulement cette investigation policière de haut vol menée par un enquêteur obstiné. Elle interroge aussi les anciens pays de l’Est, désormais membres de l’Union européenne, sur leur mémoire respective. Et cette facilité avec laquelle d’anciens cadres des régimes de l’Est ont pu se refaire une virginité politique dans le nouveau monde. Comme pour dire qu’on ne construit pas des démocraties solides sur des crimes volontairement oubliés.”
Ouest France – “Le rideau de fer hante la mémoire de l’Europe” par Didier Gourin
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“Après le très réussi 188 mètres sous Berlin, qui sondait déjà les arcanes de la mémoire allemande, la talentueuse romancière polonaise Magdalena Parys récidive avec ce brillant thriller politico-historique qui élargit la perspective à la Pologne et à la Bulgarie. Enlèvements, filatures, opérations commandos, vengeances, c’est un véritable feu d’artifice qui fait de ce sac de noeuds savamment entremêlés une lecture impossible à lâcher”.
Historia, “Sac de noeuds et bloc de l’Est” – I.M.
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