La description
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PRESSE
“Comme dans son précédent livre, Frédéric Paulin réussit le tour de force d’une leçon d’histoire sous couvert de roman(s) policier, d’espionnage et d’aventures. Il s’appuie sur quelques références essentielles pour ancrer son récit dans la réalité – certains noms sont familiers, ceux de Lionel Dumont ou Christophe Caze, membres du gang de Roubaix, ceux des lieutenants d’Oussama ben Laden dans les grottes de Tora Bora. Mais, en utilisant des personnages fictifs, un journaliste, des membres des services secrets, des policiers… déjà croisés, pour certains, dans La guerre est une ruse, il offre à son texte l’élan du roman noir.
Avec son écriture sans fioriture, son usage du présent et son sens de l’action, l’auteur réussit à passionner, évoquant les dessous d’une guerre qui ne dit pas encore son nom. Il en montre les enjeux, dévoile les aveuglements des États, les petits arrangements des uns et les lâchetés des autres. Pendant que les “services” français redoutent l’Iran et les chiites et récusent l’idée d’une internationale islamiste, c’est du côté de Sarajevo, de Peshawar et de l’Arabie saoudite sunnite que se prépare la suite. 1996, 1997, 1998, le danger grandit, l’Occident l’ignore. Jusqu’au 11 septembre 2001 et l’attentat contre les Twin Towers à New York. Ce n’est qu’a posteriori que les gouvernements de l’Ouest comprendront ce qu’ils ont refusé de voir.”
L’Express – Agnès Laurent – 23/03/2019 / NOTE DE 14/20
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PRESSE
“Un récit passionnant, encore plus abouti que le premier.”
“Adossé à une riche documentation, Prémices de la chute mêle récit d’espionnage, roman policier et thriller politique. Les personnages de fiction côtoient Zacarias Mouassaoui et Oussama Ben Laden. A l’image de ses modèles, l’Américain Don Winslow et l’Italien Giancarlo De Cataldo, le Français sait manier les ellipses et ne tombe jamais dans le piège du manichéisme. il s’évertue, au contraire, à expliquer les mécanismes complexes de la logique terroriste. Mais aussi l’incapacité des services de renseignement à prendre cette menace au sérieux – comme si on ne pouvait rien contre la fatalité.”
Le Monde des livres – “Frédéric Paulin jusqu’au 11 septembre” par Abel Mestre dans “Drogue, djihad et CIA : une semaine sous le signe du polar” – 28/03/2019
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“Après son formidable thriller La guerre est une ruse, qui montrait comment le monstre du GIA avait été créé de toute pièces par les services secrets algériens, Frédéric Paulin poursuit son entreprise de décryptage du terrorisme à travers un thriller aussi machiavélique que complexe. Dans une ambiance digne du Bureau des légendes, on remonte aux origines d’Al-Qaida avec des héros borderlines, amers de constater l’aveuglement de leur hiérarchie quand bien même ils démontrent, preuves à l’appui, que la terreur est en marche. Ex-puissance coloniale honnie, la France n’a toujours pas compris qu’elle a n’a plus d’amis en Algérie et que même une foireuse diplomatie parallèle ne pourra épargner la vie des moines de Tibérine. Car quand les hommes s’imaginent accomplir la volonté de Dieu, nul ne manœuvre ne peut plus mettre à frein à leur barbarie…”
Paris Match – “Frédéric Paulin : un djihad à la française” dans “Quais du polar : au coeur du suspens”, par François Lestavel le 28/03/2019
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A travers cette fiction historique hyperdocumentée, l’auteur apporte un éclairage sur l’actualité. Auteur de romans noirs depuis dix ans, Frédéric Paulin prend prétexte, dans cette saga, de l’histoire récente pour bâtir une intrigue complexe, qui raconte, explique et éveille la conscience et la mémoire. A la fois politique et historique, son récit fait s’entrechoquer le réel et la fiction et tient le lecteur en haleine sans jamais être rébarbatif.”
La Tribune, 21/03/2019 par Michèle Duc
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Christine Ferniot : “(‘Prémices de la chute’) confirme le côté passionnant de la démarche de Frédéric Paulin. C’est-à-dire qu’il nous raconte la grande histoire, l’histoire du terrorisme avec un fil conducteur tout à fait époustouflant mais il n’oublie jamais qu’il est dans la fiction, qu’il a des personnages de fiction à développer, que les personnages réels deviennent une fiction grâce à sa façon d’écrire. Et puis, ça reste un extraordinaire roman noir, un roman d’espionnage. Ce que je trouve passionnant dans ce 2e tome est que l’écriture a changé : (…) là on est dans un rythme beaucoup plus vif.”
“C’est un livre facile à lire, mais dans le bon sens du terme. On est passionné, on est dedans, on rate la station de métro (parce qu’) on a envie de terminer.”
“Ils sont rares ces auteurs.”
“Il laisse beaucoup de place au lecteur.”
Michel Abescat : “Sur le plan historique, c’est absolument passionnant.”
“On attend avec impatience le 3e volet de son triptyque.”
Télérama – Cercles du polar (vidéo)
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“Frédéric Paulin est parti sur les traces de James Ellroy dans sa manière de s’emparer de l’histoire contemporaine pour répondre par la fiction aux questions qui l’assaillent.”
“Le résultat est remarquable, porté par une documentation irréprochable mais jamais pesante.”
“Paulin s’approche au plus près des mécanismes qui conduisent au terrorisme et de la difficulté pour les Etats de les envisager à temps. Passionnant.”
Télérama – Michel Absecat
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“De Lille à l’Afghanistan et aux Etats-Unis, Arnotovic assemblera sous nos yeux les pièces de ce puzzle mortifère. Avec l’angoissante impression que ces prémices sont eux-mêmes la chute. Et que le plus dur, ce sera l’atterrissage, ce troisième volume que Frédéric Paulin a promis, et que l’on attend de pied ferme.”
Le Parisien – Polar : trois livres pour des frissons garantis, par Sandrine Bajos, Nicolas Jacquard et Bérangère Lepetit – 12/05/2019
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Un jour de janvier 1996, la banlieue de Roubaix est le lieu de véritables scènes de guerre. Et celles-ci se reproduisent quelques jours plus tard. Lors de ces braquages d’un nouveau type, les flics sont littéralement arrosés à la kalachnikov. Les services de renseignement sont perdus : à qui ont-ils affaire ? Des malfrats particulièrement retors ? Le grand banditisme ? A Sarajevo, où il a été mis au placard par la DGSE, l’agent Tedj Benlazar a sa petite idée. Longtemps en poste à Alger, il a étudié de près l’évolution des islamistes. Il a compris que des groupes structurés étaient en train de se mettre en place, prêts à tout dans leur guerre contre l’Occident. L’un d’eux, la brigade El Moudjahidin, a fait ses armes en Bosnie. Benlazar ne tarde pas à découvrir qu’elle a des liens avec une organisation encore peu connue des services, Al-Qaeda et son chef Ben Laden, un Saoudien qui a fait parler de lui en Afghanistan. Il en informe un journaliste de Roubaix venu lui arracher de quoi réaliser le scoop de sa vie. Et celui-ci parvient à vendre l’info à… Libération qui fait sa une sur «Les Chtis d’Allah».
Ce roman noir passionnant est le deuxième tome d’une trilogie qui ambitionne de remonter aux sources du jihadisme. Paru à l’automne dernier, le premier tome, La guerre est une ruse, se situait en Algérie dans les années 90 quand militaires et islamistes se livraient une guerre ambiguë. Le prochain tome, à paraître en mars, abordera les drames de Charlie et du Bataclan. Magistral.
Libération – 13/08/19
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