La description
-
PRESSE
« Leur investigation, au classicisme digne d’Agatha Christie, se déroule sur fond de commérages et d’événements mondains propres à l’aristocratie de Cracovie, qui fréquente avec fierté inaugurations culturelles et enterrements people (le poète immortel Adam Mickiewicz, le peintre Matejko). Un « mariage ingénieux entre comédie et polar », comme le souligne la Nobel Olga Tokarczuk. »
Les Echos
-
PRESSE
« Les deux auteurs de ce polar, Jack Dehnel et Piotr Tarcsynski, se servent brillamment de leur personnage haut en couleur pour peindre une satire de la bourgeoisie polonaise de l’époque, infestée d’arrivistes et de vaniteux. Une fiction teintée de réalisme grâce à l’irruption dans le récit d’événements historiques. »
Sud Ouest
-
PRESSE
« Inauguration du nouveau théâtre, potins mondains, rivalités entre bienfaitrices de haut rang, organisation d’un dîner ou funérailles en grande pompe du peintre Jan Matejko, ce roman rapide et ryhtmé se construit comme un récit picaresque, un petit résumé souvent ironique chapeautant chaque chapitre. »
Le Temps
-
PRESSE
« Signé Maryla Szymiczkowa, nom de plume d’un duo d’auteurs mariés à la ville, « Madame Mohr a disparu » inaugure une série du genre « cosy crime », revisité avec humour. L’héroïne à la Miss Marple s’appelle Zofia, qui, mariée à un professeur d’université, dévoile un savoureux portrait de la bourgeoisie de Cracovie à la fin du XIXe siècle. »
Le Quotidien du Pharmacien
-
PRESSE
« Un style léger, une ambiance loufoque, une intrigue policière bien construite. Un roman, entre polar et comédie qui donne un bon aperçu de la diaspora polonaise. »
Radio Coteaux
AVIS LECTEUR
« Ce roman policier historique est marqué par un ton ironique et satirique, ce qui le rend particulièrement réjouissant. Que ce soient les réparties bien senties de Zofia, ou les auteurs qui se moquent de leur héroïne, j’ai passé un excellent moment entre les pages de ce roman. Zofia est un personnage très réussi, aussi attachante qu’agaçante par sa pingrerie et son besoin de réussite sociale. L’appartenance à une classe sociale est essentielle dans la Cracovie de cette fin du XIXème siècle et tout le roman tourne autour de l’idée d’ascension sociale.
Madame Mohr a disparu est un cosy crime historique savoureux, bien construit, plein d’ironie et qui nous propose un personnage principal haut en couleurs. »
Plaisirs à cultiver
AVIS LECTEUR
« Un livre drôle et caustique, une femme déterminée et écrasée par les conventions, une enquête dans une société très codifiée et des éléments historiques passionnants. Un cosy crime étonnant qui n’est pas mièvre. Magique. »
La plume démasquée
AVIS LECTEUR
« Tout cela nous donne un roman historique et policier passionnant s’attardant sur les aspects sociaux de l’époque au gré d’un récit plaisant en accompagnant une enquêtrice au charme indéniable que l’on se réjouit déjà de retrouver au cours d’une série qui s’annonce très prometteuse. »
Mon roman ? Noir et bien serré
AVIS LECTEUR
« Je me suis régalée des notes d’humour sur la société polonaise de l’époque. J’espère que ce n’était que la première enquête de Mme Turbotyńska. »
Alex Mot-à-mots
AVIS LECTEUR
« Mais que j’ai aimé passer cet automne 1893, à Cracovie, en compagnie de Zofia Turbotynska ! […] J’ai lu ce livre avec presque en permanence le sourire aux lèvres. Le ton est léger, critique et souvent malicieux. »
Ann_Litt_, Songazine
AVIS LECTEUR
« Je ne vais pas tourner autour du pot et vous dis d’emblée que je suis tombée sous le charme de ce livre qui, à part être un roman policier façon Agatha Christie (la fin est comme extraite d’un Hercule Poirot), est une formidable comédie de mœurs. Vous comprenez que je suis absolument enchantée par le fait que le deuxième tome sorte à la fin du mois. »
Et si on bouquinait un peu